Attaque de Strasbourg : Chérif Chekatt toujours recherché

Un homme identifié comme étant fiché S a ouvert le feu dans le centre de Strasbourg, avant de prendre la fuite, blessé par des soldats de l'opération Sentinelle. L'assaillant présumé est toujours en fuite.

20h35 CET

RT France a interrogé l'eurodéputée des Républicains Nadine Morano.


19h58 CET

La police a diffusé un appel à témoins comportant une photo de Chérif Chekatt.

19h27 CET

Interrogé par RT France, Nicolas Bay estime qu'Emmanuel Macron ne devrait pas demander aux Gilets jaunes d'arrêter de manifester.

 19h22 CET

Emmanuel Macron a décidé d'accroître la mobilisation des militaires Sentinelles, selon Edouard Philippe. «500 militaires sont venus compléter le dispositif et 1 300 viendront s'ajouter sur le terrain», a-t-il déclaré.

15h50 CET

Interpellé par un élu LR sur la question du suivi des fichiers S, le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez, a défendu le bilan de la DGSI : «C'est un individu qui se livrait au prosélytisme en détention. [...] Malheureusement, il n'a jamais été détecté de radicalisation ou de velléités de passage à l'acte.»

15h42 CET

A l'Assemblée nationale, Christophe Castaner a livré quelques détails sur la traque de Chérif Chekatt : «Nous avons pensé qu'il était réfugié à Kehl, en Allemagne [...] Le site où nous pensions qu'il était logé a été immédiatement quadrillé mais il n'était pas là.»

15h23 CET

Prenant la parole à l'Assemblée nationale, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a déclaré : «720 personnes sont mobilisées pour que nous puissions intercepter cet individu.»

 15h15 CET

Minute de silence à l'Assemblée nationale : Richard Ferrand, président de l'Assemblée nationale, a invité les parlementaires à observer une minute de silence, à l'ouverture de la séance, en mémoire des victimes de l'attentat de Strasbourg. La séance des questions aux gouvernement s'ouvre ensuite.

15h04 CET

Après l'attaque qui a endeuillé la ville de Strasbourg, le député PCF des Bouches-du-Rhône, Pierre Dharréville, a suggéré sur le plateau de LCP que le débat sur la motion de censure portée par plusieurs groupes d'opposition soit reporté «à la semaine prochaine, parce que nous pensons que dans les conditions actuelles, ce serait le mieux.»

 14h05 CET

Le bilan encore provisoire de l'attaque survenue à Strasbourg est de deux morts, une personne en état de mort cérébrale et 13 blessés, dont 6 en urgence absolue.

Selon Le Parisien, une des personnes décédées est un père de famille strasbourgeois qui était «venu pour boire l'apéro» avec sa femme et son fils. Cité par le quotidien, un serveur de l'établissement où l'homme était venu en famille, il s'agissait d'un homme de 45 ans :«Il a payé. Sa femme [et son fils sont] allés aux toilettes, et lui est sorti. [L'assaillant] est arrivé et lui a tiré dessus », avant de partir en direction d’une rue adjacente. Le quadragénaire est mort avant l’arrivée des secours, «15 minutes après» avoir été touché selon la même source.

L'autre victime décédée était un touriste né en Thaïlande.

Parmi les blessés, un peintre en bâtiment, marié et père de deux enfants, a été gravement touché père de deux enfants. Une femme des Vosges de 18 ans a également été gravement touchée. Elle a été opérée dans la nuit et serait hors de danger. Un journaliste italien de 28 ans a aussi été gravement blessé. Cette information a été confirmée par le ministère italien de la Justice auprès de l'AFP.

13h42 CET

Donald Trump a déploré sur Twitter «une nouvelle attaque vraiment mauvaise en France», appelant en outre à renforcer les frontières américaines.

 13h12 CET

«Incontestablement, il s'agit d'un attentat», a estimé le maire de Strasbourg Roland Ries, cité par Le Figaro.

12h38 CET

Selon la déclaration du Procureur de Paris, «quatre proches du mis en cause ont été placés en garde à vue» dans la nuit.

Chérif C. est né le 24 février 1989 à Strasbourg, il est très connu des services de police et de justice pour des faits de droits communs, dont 27 ont été versés à son casier judiciaire.

Ces faits ont été commis en Allemagne, en France et en Suisse. Chérif C. est connu des services spécialisés pour sa radicalisation, il était notamment inscrit au FSPRT et a été suivi par la DGS

 12h35 CET

L'assaillant a été blessé au bras par un tir de riposte, selon le procureur de Paris, puis a rejoint le quartier de Neudorf à Strasbourg en montant dans un taxi. Un échange de tirs avec des policiers s'en est suivi dans ce quartier.

12h34 CET

Le procureur de Paris déclare que le suspect aurait crié «Allah akbar», selon certains témoins sur place.


12h32 CET

Le procureur de Paris, Rémy Heitz, est arrivé à la conférence de presse au tribunal de grande instance de Strasbourg et a déclaré que le bilan était bien de deux morts et 12 blessés, une personne se trouvant en état de mort cérébrale

11h14 CET

La préfecture est revenue sur son précédent communiqué annonçant un bilan révisé à la baisse. Le dernier bilan est donc de trois morts et 13 blessés, dont huit graves.

    Merci de ne pas tenir compte du communiqué de presse qui vous a été transmis au titre du point de situation de 10h00, nul et non avenu, le dernier bilan ayant été communiqué par @NunezLaurent, secrétaire d’État auprès du ministre de l'Intérieur, ce matin sur France Inter à 8H20. pic.twitter.com/ttyeAqpzbn— Préfet de la région Grand-Est et du Bas-Rhin (@Prefet67) 12 décembre 2018"

 10h39 CET

Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner est actuellement sur les lieux de la fusillade, à Strasbourg.

 10h30 CET

Le procureur de Paris Rémy Heitz, dont la section antiterroriste mène l'enquête sur l'attaque de Strasbourg, tiendra une conférence de presse mercredi à 12h au tribunal de grande instance de Strasbourg, a annoncé son parquet.

10h24 CET

Selon un nouveau bilan de la préfecture, donné à 9h30, deux personnes sont décédées et 14 ont été blessées, dont neuf gravement.

Attaque à #Strasbourg
Point de situation n°6 du 12 décembre à 09h30 pic.twitter.com/rzJ5HePjFT— Préfet de la région Grand-Est et du Bas-Rhin (@Prefet67) 12 décembre 2018

10h11 CET

Des images de gens fuyant le centre-ville de Strasbourg après la fusillade.

09h01 CET

Nicole Belloubet, ministre de la Justice, a estimé qu'«à partir du moment où la section du parquet antiterroriste a été saisie, on p[ouvai]t effectivement parler d'attentat».

Par ailleurs, la ministre a estimé qu'après la fusillade de Strasbourg et au vu des réponses apportées par Emmanuel Macron aux Gilets jaunes, «le mouvement d[evai]t cesser».

08h31 CET

Intervenant sur France Inter, le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur Laurent Nunez n'a pas exclu que le tireur ait déjà quitté le territoire français.

Il a en outre déclaré que la motivation terroriste de l'auteur présumé des faits ne pouvait être encore établie. Laurent Nunez a cependant rappelé que le suspect avait fait «plusieurs séjours en prison», ajoutant que «c'est à cette occasion qu'a été détectée chez lui une radicalisation mais dans la pratique religieuse».

07h57 CET

Le bilan s'alourdit : selon un nouveau communiqué de la préfecture, l'attaque de Strasbourg a fait trois morts et 13 blessés, dont huit graves.

 07h34 CET

L'auteur présumé de l'attaque, Chérif C., était fiché S depuis 2016 et, selon Le Figaro, s'appuyant sur une source proche de l'enquête, avait été signalé par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) lors d'un passage en prison où il s'était fait remarquer pour des violences et son prosélytisme religieux.

Chérif C. avait été condamné pour des faits graves de droit commun. Selon les informations des Dernières nouvelles d'Alsace, il aurait été condamné en 2011 à deux ans de prison, dont six mois ferme, pour une agression avec arme sur un jeune homme de 16 ans qu'il aurait blessé au visage avec un tesson de bouteille lors d'une rixe dans un centre commercial de Strasbourg.

Selon Le Figaro, Chérif C. a déjà fait l'objet de 20 condamnations. BFM TV a précisé que l'individu fréquentait les milieux islamistes radicaux strasbourgeois ; il a échappé à une perquisition à son domicile le 11 décembre au matin. Des grenades auraient été retrouvées à son domicile.

Selon une déclaration du ministre de l'Intérieur, Chérif C. est «un homme très défavorablement connu pour des faits de droit commun pour lesquels il a fait l'objet de condamnations en France et en Allemagne, et pour lesquels il a purgé ses peines.»

Interrogés par LCI, ses amis se sont dits abasourdis par la nouvelle : «C'était vraiment quelqu'un de très calme» dit l'un. «C'est une personne gentille», ajoute un autre.

07h31 CET

Le président de la République a réagi à l'attaque sur son compte Twitter : «Solidarité de la Nation tout entière pour Strasbourg, nos victimes et leurs familles.»

07h21 CET

Selon une déclaration du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, le gouvernement a décidé de placer le plan Vigipirate au niveau «urgence attentat». Les contrôles aux frontières sont donc renforcés.

 07h14 CET

A Strasbourg, les mesures de confinement ont été levées et l'auteur présumé des faits, Chérif C., est activement recherché par les forces de l'ordre. 350 policiers et gendarmes sont mobilisés pour cette traque, selon un communiqué du préfet de région. Les forces de l'ordre sont appuyées par des moyens aériens, les équipes du RAID, de la BRI et de la force Sentinelle.

Le même communiqué annonce que la ville de Strasbourg sera quadrillée par les forces de l'ordre toute la journée.

07h11 CET

Selon un communiqué du préfet de région Grand-Est et Bas-Rhin, le bilan de l'attaque est de 14 victimes, dont trois personnes décédées, cinq blessés graves et six blessés légers.

 00h15 CET

Le président de la République effectuera un point de situation à la cellule de crise du ministère de l’Intérieur vers 00h15 en présence du Premier ministre Edouard Philippe, du Secrétaire d'Etat au ministère de l'Intérieur Laurent Nunez, du ministre de la Santé Agnès Buzyn et du ministre des Armées Florence Parly. 

00h09 CET

Christophe Castaner fait un point sur la situation à Strasbourg avec Rémy Heitz, procureur de la République de Paris.

mardi 11 décembre

23h56 CET

La préfecture de la région Grand-Est et du Bas-Rhin maintient le bilan de la fusillade de Strasbourg à deux morts, six blessés graves et six blessés légers. Un peu plus tôt, Reuters avait établi son bilan à quatre morts.

23h54 CET

D'après le quotidien régional Dernières Nouvelles d'Alsace, les policiers poursuivent leur traque. Les recherches seraient désormais en cours dans le secteur de la rue Tite Live, aux Poteries (dite du Hohberg). Deux militaires auraient ouvert le feu vers 19h55 avenue des Arcades.

23h40 CET

Le Premier minsitre Edouard Philippe active la cellule interministérielle de crise.

23h39 CET

La circulation des tramways est actuellement interrompue afin de garantir le périmètre de bouclage, selon la préfecture du Bas-Rhin.

23h25 CET

Selon Le Figaro, l'auteur présumé de la fusillade s'appellerait Chérif C. Il est né en 1989.

23h15 CET

L'auteur aurait été condamné en 2011 à deux ans de prison, dont six mois ferme pour une agression avec arme, selon Dernière Nouvelles d'Alsace. Il aurait blessé au visage dun adolescent âgé de 16 ans en le frappant avec un tesson de bouteille lors d'une rixe au centre commercial des Halles à Strasbourg.

23h08 CET

Selon BFMTV, l'auteur présumé de la fusillade fréquenterait les milieux radicaux strasbourgeois. La perquisition serait liée à une enquête pour braquage.

23h04 CET

L'agence Reuters avance un nouveau bilan provisoire de quatre morts et de 11 blessés.

22h52 CET

Les sénateurs ont observé une minute de silence en hommage aux victimes, à l'invitation du sénateur des Landes Eric Kerrouche.

 22h43 CET

Selon France 3 citant une source policière, l'auteur présumé de la fusillade serait âgé de 29 ans et natif de Strasbourg. Il devait être interpellé le matin même pour homicide.

Il avait échappé à une interpellation à son domicile dans le quartier de Neudorf par des gendarmes. Des grenades auraient été retrouvées sur place par les gendarmes, selon BFMTV.

22h39 CET

«Ca ne sert à rien de te retrancher», auraient lancé des policiers au suspect qui se serait retranché dans l'immeuble situé au 5 rue d'Epinal dans le quartier du Neudorf.

 22h20 CET

Une source policière citée par Le Figaro rapporte que l'auteur présumé est en ce moment cerné par les forces de l'ordre.

22h14 CET

Un témoin présent à proximité des lieux évoque l'important dispositif de sécurité mis en place dans le centre-ville de Strasbourg.

 22h12 CET

Selon une source policière citée par Le Figaro, l'auteur présumé de la fusillade est retranché rue d'Epinal. Des coups de feu viennent d'être échangés.

22h10 CET

Le safety check de Facebook, le dispositif qui permet lors des drames d'indiquer que l'on est en sécurité, a été activé ce soir pour les Strasbourgeois.

22h06 CET

Selon la police, «un échange de coups de feu dans le quartier où serait retranché l'assaillant» a éclaté.

22h04 CET

Des militaires en arme, des policiers et des véhicules de secours ont afflué vers le lieu de la fusillade.

 22h02 CET

Le parquet antiterroriste de Strasbourg se saisit officiellement de l'enquête.

21h56 CET

D'après des informations recueillies par France Info, une arme automatique ainsi qu'une arme blanche auraient été utilisées dans la fusillade de Strasbourg.

21h55 CET

Selon le ministre de l'Intérieur, l'auteur de la fusillade était connu des services de police pour des faits de droit commun.

21h52 CET

Selon la police et la préfecture de la région Grand-Est et du Bas-Rhin, le bilan provisoire passe à deux morts et onze blessés en urgence absolue.

21h44 CET

Selon le quotidien régional Dernières Nouvelles d'Alsace, l'auteur de la fusillade serait fiché S pour radicalisation. Il aurait été blessé lors d'une riposte des militaires de l'opération Sentinelle. L'un d'entre eux aurait été blessé à la main.

 21h44 CET

La «situation» est en cours d'évaluation par le parquet antiterroriste de Strasbourg.

21h40 CET

Selon la préfecture du Bas-Rhin, l'auteur de la fusillade a été identifié. Il est toujours recherché.

Il aurait entre 25 et 30 ans et mesurerait environ 1,80 m, les cheveux noirs et vêtu d’un manteau foncé, d'après France 3.

21h37 CET

Selon la préfecture de la région Grand-Est et du Bas-Rhin, le bilan provisoire de la fusillade est de un mort et 10 blessés.

21h35 CET

Emmanuel Macron envoie le ministre de l'Intérieur à Strasboug.

 21h29 CET

Une opération de police serait en cours dans le quartier de Neudorf selon le quotidien régional Dernières Nouvelles d'Alsace. Des coups de feu auraient été entendus.

21h24 CET

Un touriste présent sur place témoigne sur RT France.

21h20 CET

Selon la police, le bilan provisoire est désormais passé à un mort et neuf blessés.

21h20 CET

Plusieurs témoignages circulent sur les réseaux sociaux. Un internaute affirme que la situation demeure toujours confuse à Strasbourg.

21h16 CET

Le patron de la place Beauvau affirme suivre la situation «au centre de veille du ministère de l’Intérieur».

21h14 CET

Une femme présente non loin des lieux où ont été entendus les coups de feu témoigne sur RT France de la panique sur place.

21h09 CET

Sur une autre vidéo, dont l'authenfication reste à confirmer, on peut apercevoir un agent des forces de l'ordre se déployer sur le lieu de la fusillade.

21h05 CET

Selon la préfecture de police de la région Grand-Est et du Bas-Rhin, un mort et six blessés sont à déplorer.

21h02 CET

Selon le Figaro, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, alors à l’Élysée lorsque la fusillade a éclaté à Strasbourg, a quitté précipitamment le palais présidentiel. 

21h01 CET

Selon le quotidien régional Dernières nouvelles d'Alsace, des coups de feu ont été tirés vers 20h ce 11 décembre dans le centre-ville de Strasbourg. Un tireur isolé aurait ouvert le feu, provoquant la panique dans les rues, comme en attestent plusieurs vidéos publiées sur les réseaux sociaux. Selon le dernier bilan du procureur de Paris Rémy Heitz, le 12 décembre à 12h au moins deux personnes sont mortes, une personne est en état de mort cérébrale et 13 autres seraient blessés, dont six graves.

Strasbourg actuellement ! évitez le centre ville pic.twitter.com/4oOE41lRlG— Anthony Mattozza (@MTZ_Tonio) 11 décembre 2018

Des vidéos montrent une importante présence policière sur place. Plusieurs rues ont été bouclées.

21h14 CET

Une femme présente non loin des lieux où ont été entendus les coups de feu témoigne sur RT France de la panique sur place.

21h09 CET

Sur une autre vidéo, dont l'authenfication reste à confirmer, on peut apercevoir un agent des forces de l'ordre se déployer sur le lieu de la fusillade.

 21h05 CET

Selon la préfecture de police de la région Grand-Est et du Bas-Rhin, un mort et six blessés sont à déplorer.

21h02 CET

Selon le Figaro, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, alors à l’Élysée lorsque la fusillade a éclaté à Strasbourg, a quitté précipitamment le palais présidentiel. 

 21h00 CET

Selon le maire de Strasbourg Roland Ries, le tireur serait toujours en fuite.

20h56 CET

Plusieurs vidéos de la fusillade circulent sur Twitter, sans que leur authenticité ne soit confirmée.

20h51 CET

Selon le quotidien Dernières Nouvelles d'Alsace qui cite des sources proches de la mairie de Strasbourg, le bilan provisoire serait de «cinq victimes».

20h47 CET

Selon France Info, le plan blanc a été activé au CHU de Strasbourg. Il s'agit d'un dispositif spécifique mise en place lors d'une situation sanitaire exceptionnelle.

20h46 CET

En cette période de fêtes, la ville de Strasbourg avait annoncé des mesures de sécurité notamment autour du marché de Noël. La circulation et le stationnement automobiles avaient notamment été restreints.

20h42 CET

La mairie de Strasbourg appelle les habitants à rester chez eux.

Selon le quotidien régional Dernières nouvelles d'Alsace, des coups de feu ont été tirés vers 20h ce 11 décembre dans le centre-ville de Strasbourg. Un tireur isolé aurait ouvert le feu, provoquant la panique dans les rues, comme en attestent plusieurs vidéos publiées sur les réseaux sociaux. Selon le dernier bilan du procureur de Paris Rémy Heitz, le 12 décembre à 12h au moins deux personnes sont mortes, une personne est en état de mort cérébrale et 13 autres seraient blessés, dont six graves.

Des vidéos montrent une importante présence policière sur place. Plusieurs rues ont été bouclées.


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